thérapie par le rire

Je vous ai laissé à 5h57 très exactement hier matin. La journée s'annonçait longue et empreinte de lassitude... le fameux contre-coup.

Mais c'était sans compter une petite parenthèse enchantée... Figurez-vous que la ville de Pindamonhangaba a eu une initiative plus que louable: l'organisation d'un festival théatral. C'est peut-être un détail pour vous, mais pour moi lalala...!
Je ne vais pas vous rebâcher les oreilles sur le vide culturel intersidéral du coin, ni sur le désert artistique qui nous entoure, mais quand même... (c'est un peu une honte!)

dans la queue avec un flamant Rose qui vit désormais sur un pied
(RV cet après-midi chez l'orthopédiste!)

Une première représentation de rue dimanche, mais peu adaptée pour les enfants. Et hier, une pièce rien que pour eux, mais pas que, parce que moi aussi j'ai bien ri!
Une histoire qui nous a emmenés à travers diverses régions du Brésil avec toute la caricature que chacune d'elles suscitent.
J'ai tant ri que Rose a dû veiller à la bienséance: "Maman, arrête de faire le cochon!" (oui, je sais, c'est une humiliation: je fais le cochon quand je ris!).

Pfff, n'empêche que ça fait du bien!

***

Et merci encore pour vos messages hier et aujourd'hui, pour votre compassion et votre humour!
Si je vous ai fait rire, c'est tant mieux, parce que vous aussi vous m'avez fait rire
et que c'est bien tout ce que cette histoire méritait!

Comments

[rouflaquette]

Bon, c'est exactement ce qu'il fallait non? tu nous tiens au courant pour Rose?